A LOmbre Des Maris Série 2 Cinquième Partie : Le Dépucelage DImène
Ce matin là, je me levai aux aurores, tellement jétais impatient daccueillir Imène.
En fait jexagère un peu, parce quil était déjà sept heures. Mais comme javais
lhabitude de me réveiller une heure plus tard pour me retrouver au bureau à neuf
heures, cétait pour moi qui suis un couche-tard une heure de sommeil en moins.
Mais quimporte. Ce matin-là devait être une matinée exceptionnelle. Imène devait
moffrir sa seule raie richesse : son hymen. Et malgré que pour moi, cela navait pas
plus dimportance que cela de cueillir le premier la fleur dune fille ou dune femme,
ce matin là jétais dans un état démotion exceptionnelle.
Javais plus dune fois flirté avec Imène toujours en présence de Farida, son
amoureuse et son mentor et jai eu entre mes bras son superbe corps. Nous avions
fait tout ce que nous pouvions faire en tant quamants passionnés, sauf aller au fond
des choses, cest-à-dire éclater lhymen de la fille et en faire une vraie femme.
Jusque là, Farida, qui aimait tendrement Imène et qui ne voulait pas du scandale qui
surviendrait nécessairement de la découverte de la disparition de la fine membrane de
la fille au moment de son mariage, avait veillé pendant des moi, à ce que nous ne
cédions pas à notre envie dy aller à fond. Nous avions tout fait ensemble -
fellation, cunnilingus, caresses poussées avec le sexe mais il ne métait pas permis
de pénétrer la belle. Ni par devant, ni même par derrière.
Nous avions mis beaucoup de temps pour convaincre Farida de permettre à Imène de
devenir une vraie femme. Ma femme ! Farida, qui avait compris que nous souffrions le
martyre la fille et moi surtout la fille dailleurs, parce que moi, je me rattrapais
toujours avec Farida qui me permettait de me vider en elle et de jouir à ma guise
avait fini par trouver une solution qui arrangerait tout le monde.
permettait de baiser sans retenue - donc me permettait à moi de dépuceler la fille
et à quelques encablures du mariage dImène, elle la confirait à une gynécologue qui
lui reconstruira son hymen détruit. Elle avait pris contact avec le médecin et sétait
assurée de la faisabilité de la chose. Cétait ce qui lavait poussée à accepter
quImène vienne me rejoindre ce matin là pour passer la journée avec moi.
Farida, avait refusé de participer à nos ébats, un peu pour ne pas imposer sa présence
à sa protégée dans ce moment unique dans la vie dune femme, un peu pour ne pas avoir
à tenir la bougie pendant toute la journée (elle nétait pas femme à ne pas participer
à nos ébats amoureux) et surtout, parce quelle était un peu jalouse. Jalouse de la
fille qui allait donc devenir son égale vis-à-vis de moi. Elle savait quà partir du
moment où Imène ne sera plus vierge, elle me donnera autant de plaisir et de bonheur
quelle. Et puis, elle avait peur que jaime la fille plus quelle, parce que plus
jeune et plus belle. Elle nous avait dit quil lui fallait un peu de temps pour
sadapter à la nouvelle donne. Elle nous avait donné rendez-vous pour le surlendemain,
pour reprendre, disait-elle, le cours de notre vie amoureuse.
Ce matin là donc, je métais levé très tôt pour faire ce que je ne faisais presque
jamais : le ménage et le rangement dans la maison. Javais décidé de recevoir Imène,
dans la chambre à coucher et pas dans le grand salon où nous avions lhabitude de nous
ébattre tous les trois. Pour je ne sais quelle raison nous navions encore jamais
utilisé le lit de la chambre à coucher. Et pour je ne sais quelle raison, javais
décidé que ce sera sur ce même lit que je ferai perdre son hymen à Imène. Je voulais
donner à la fille une vraie nuit de noces (bien que cela se passera obligatoirement
pendant la journée, la fille étant interdite de sortie et surtout de découchage, par
ses parents), avec la même solennité Je voulais lui montrer que pour moi aussi, ce qui
allait se passer était important.
moi une fille comme les autres, une simple passade dont le dépucelage nétait quun
accident de parcours, ou pire encore, un moyen dassouvir un fantasme et une croyance
moyenâgeux, qui consiste à faire couler le sang dune vierge pour prouver et maintenir
sa virilité de mâle imbécile.
Je voulais quelle comprenne, que même si les choses allaient nécessairement évoluer
par la suite entre nous (il nétait pas question de mariage entre nous, par exemple)
jéprouvais pour elle de lamour et de la tendresse. Elle nétait pas quun corps
par ailleurs, sublime dont jallais profiter.
Javais donc commencé à changer les draps et la couette du grand lit, à faire du
rangement dans toutes les affaires qui trainaient par ci par là, et dans la garde
robe. Au bout dune demi-heure de travaux de rangement et après une séance de balayage
qui avait soulevé la tonne de poussière qui sy était accumulée depuis deux semaines
que la voisine qui soccupait de mon ménage ny avait pas mis les pieds, la chambre
mavait paru clean. Elle était prête à accueillir décemment Imène, mon amour couleur
café. Je lattendis donc dans la cuisine en nous préparant un copieux petit déjeuner
que javais décidé doffrir à ma belle avant de passer aux choses sérieuses. Cétait
me dis-je une manière de la rassurer. Il était connu que les jeunes filles craignaient
par-dessus tout, le moment du dépucelage. Javais donc décidé dagir en gentleman et
de my prendre avec elle sans aucune précipitation.
Javais tout faux. Imène avait fait dautres plans et elle avait décidé de mener le
bal à sa manière. Moi je ne devais quobéir.
/
Imène arriva à huit heures. Lheure à laquelle elle devait commencer ses cours à
luniversité et quelle avait décidé de sécher pour passe la journée avec moi. En
ouvrant la porte je me trouvai en face de la superbe plante noire quelle avait
toujours été.
moulant de la même couleur et par-dessus, un long manteau demi-saison qui lui arrivait
à mi-mollets. En plus de son éternel sac fourre-tout, elle tenait dans sa main gauche,
un sachet en plastic aux couleurs dune grande maison dhabillement. Jattendais
quelle membrasse tendrement sur la bouche manière idéale, pensais-je de commencer
la journée mais au lieu de cela elle membrassa sur les deux joues et me précéda
dans la cuisine de laquelle sélevaient les odeurs du petit déjeuner que javais
préparé pour nous deux.
- Je nous ai préparé un copieux petit déjeuner. Je suis sûr que tu nas encore
rien mangé ce matin.
- Non je lai déjà pris. Cest un rite familial imposé. Tout le monde à la
maison prend son petit déjeuner ensemble. Cest, daprès mon père, la seule manière de
bien commencer la journée. Personne na jamais dérogé à cette règle. Mange quelque
chose, pendant que je vais mettre mon pyjama dans la salle de bain.
Elle me montra du doigt le sachet en plastic qui balançait toujours au bout de sa main
gauche et partit en dandinant vers la salle de bain. Javalais en vitesse une tasse de
café noir et me mis à attendre le retour dImène. Elle ne mit pas longtemps avant de
réapparaitre. Sacré pyjama ! Une magicienne lavait transformé en une superbe petite
nuisette en satin noir. Et en dessous, rien, si ce nétait une petite culotte blanche,
que je devinais par transparence à travers le tissu de la nuisette. Une petite
culotte, pas un string ! Javais toujours préféré et elle sen était souvenue ! Sa
poitrine était totalement nue. Ses petits seins, hauts perchés, pointaient vers moi
tels des petits obus menaçants.
- Ouah ! fis-je en la regardant avec des yeux exorbités. Tu es superbe ! Viens
vite dans mes bras !
Mais au lieu de venir directement vers moi et se lover dans mes bras comme je le lui
avais demandé, elle me tourna le dos et se dirigea vers la chambre, en balançant de
manière impudique son superbe fessier dafricaine.
chambre, elle se retourna et me fit signe de son indexe de venir la rejoindre.
Toujours avec son indexe, à la manière des femmes fatales quelle voyait au cinéma ou
à la télévision, elle mordonna daller massoir sur le bord du lit. Je fis ce quelle
mordonnait et attendis la suite avec curiosité. Elle sapprocha de moi toujours en
dandinant et plongea littéralement sur moi me faisant tomber à la renverse sur le lit.
Elle sallongea sur moi. Sa poitrine juvénile vint se coller contre la mienne et ses
petits seins fermes et pointus se frottèrent contre ma poitrine, provoquant en moi un
tsunami démotions. Elle arrêta un instant ce quelle faisait, souleva son tronc et se
mit à me regarder avec ses immenses yeux noirs et brillants. Je sentais quelle était
aussi émue que moi. Elle était entrain de jouer un rôle pour cacher son émoi.
Je la retournai pour la mettre sous moi et la remplis de baisers doux et tendres: sur
les joues, les yeux, le nez et le cou. Elle comprit que le moment était vraiment
exceptionnel pour nous deux. Elle arrêta de minauder et me regarda avec des yeux qui
commençaient à se voiler. Je ne posais pas la question de savoir ce qui voilait ainsi
son regard dhabitude brillant : amour, désir, crainte, jétais incapable de le dire
et je men fichais totalement. Ce qui mimportait, cétait cette magnifique plante qui
était sous moi, à moitié nue et complètement offerte. Ce qui mimportait, cétait ce
sentiment divresse qui menvahissait. Cétait un mélange damour oui en ce moment
là, jaimais vraiment cette fille de désir et de reconnaissance. Mon cur battait
très fort. Peut-être aussi fort que le sien.
Je tendis la main droite pour lui caresser longuement les épaules et la poitrine sous
le léger tissu de la nuisette. Je savais, pour lavoir déjà pratiquée, que ses petits
seins étaient très excitables. Dès que je les touchai, tout son corps se tendait et
elle poussait des petits gémissements de plaisir. Il métait même arrivé de la faire
jouir rien quen lui caressant la poitrine. Je me dis que ce serait une bonne entrée
en matière de la faire jouir avant de passer à la chose, que tous les deux nous
attendions: elle avec un peu de crainte et de limpatience; moi avec seulement de
limpatience. Je lui fis passer sa nuisette par-dessus la tête et elle resta toute
nue, à lexception de sa petite culotte en soie blanche, qui formait avec magnifique
contraste avec la couleur café de sa peau. Une fois encore je me mis à admirer sa
magnifique beauté de déesse noire. Elle me paraissait encore plus belle, ainsi
allongée, quasiment nue, sous moi. Ses jolis petits seins pointaient fièrement vers le
plafond. Ils avaient la même couleur café que le reste du corps, avec des tétons
noirs ébène à lintérieur de deux larges auréoles marron très foncé. Ils étaient si
beaux, si fermes et si excitables ! Je me mis à les lui palper avec douceur. Je la
voyais qui souriait aux anges. Elle adorait toujours autant les caresses sur ses
seins. Elle me demanda sans un mot, uniquement avec ses yeux, de continuer comme cela.
De la salive commençait même à séchapper de la commissure de ses lèvres. Elle avait
posée ses mains sur les miennes. Elles mindiquaient tout ce que je devais faire pour
lui donner encore plus de plaisir. Nos mains entremêlées produisaient un merveilleux
spectacle érotique.
Imène était Vénus faite femme ! Une Vénus noire ! Elle aimait les préliminaires de
lamour et me le faisait savoir en gémissant et ronronnant sous mes caresses et mes
baisers! Je me mis à embrasser légèrement dabord, intensément ensuite, ses seins à
tour de rôle. Puis jintroduisis le téton de son sein droit entre mes lèvres et me mit
à le titiller avec le bout de ma langue. Imène eut un petit rire, comme si je la
chatouillais. Elle attrapa ma nuque et appuya sur elle doucement, pour mindiquer son
souhait de poursuivre lopération; elle ne parlait pas. Elle se contentait de gémir et
de saliver. Et de guider ma tête. Parfois ses gémissements se transformaient en
sifflements, au moment où elle tentait de réintroduire sa salive à lintérieur de sa
bouche.
Jadorais la fermeté et la douceur de son téton sous mes lèvres. De temps en temps,
elle me forçait à changer dendroit et à aller moccuper de lautre sein. Elle ne
disait rien; elle se contentait de me guider en tirant, parfois violemment, sur mes
cheveux, emmenant ainsi ma tête là où elle voulait quelle soit. Nous continuâmes
ainsi un long moment. Je la sentais qui se cabrait de plus en plus, elle était entrée
en elle et était à lécoute des sensations de son corps. Le son de ses gémissements
avait changé de sonorité, il était devenu plus sifflant et plus haletant. Elle
manquait dair. Je savais dexpérience quelle nallait pas tarder à jouir. Jappelais
cela une jouissance de pucelle et métais assez moqué delle auparavant. Mais
aujourdhui, jétais moi-même à lécoute des sensations de ma belle. Jattendais avec
impatience le moment où elle allait exploser. Cétait comme si cétait moi qui allait
jouir ! Et elle explosa. Cétait certainement une vue de mon esprit, mais il me sembla
que cette fois-ci, elle avait joui plus intensément que les autres fois, sous les
mêmes caresses et baisers que je lui appliquais.
/
Il était maintenant temps que je prenne les rênes et passer à lessentiel : donner au
plaisir que ressentait mon amante une intensité quelle navait encore jamais vécue.
Et pour cause ! Il était temps de faire dImène une femme ! Une vraie ! Mais il
nétait pas question pour moi de me comporter comme une brute (encore que si je
métais laissé aller à mes pulsions, je laurais déjà dépucelée et sans avoir pris
aucune précaution !). Je savais que comme la plupart des filles et même des femmes
restées vierges à un âge avancé la défloration (je préfère ce mot, plus pittoresque,
à dépucelage qui me parait plus brutal) nest pas un acte banal. Cest un moment qui
compte dans la vie dune femme : dabord parce quil signifie douleur et sang. Ensuite
parce quil constitue la frontière entre létat de jeune fille quel que soit son âge
réel et celui de femme. Et dans nos contrées encore moyenâgeuses, le dépucelage a
une valeur sociale essentielle : cest la preuve que la fille (ou la femme non encore
mariée) a respecté tous les codes sociaux et a gardé intact lhonneur de la famille et
même de la tribu, dans les nombreuses régions qui en sont encore resté au mode de vie
tribale. Cest aussi la de la virilité de lhomme. Combien de jeunes hommes puceaux
et intimidés par la solennité de lacte ont été incapables daller au bout de cette
nuit fatidique (surtout que dans certaines traditions, les femmes des deux familles
restent plantées devant la chambre et frappent avec insistance à la porte pour que le
garçon fasse rapidement son devoir et leur jette la preuve de la virginité de la fille
un mouchoir ou la chemise de nuit ensanglantés). Cela a créé parfois de vrais drames
pour les garçons, mais plus souvent encore pour les filles, accusées par sa belle
famille de sorcellerie (elles auraient « noué » la virilité du jeune homme, pour
lempêcher dêtre un homme).
Imène, nen était bien sûr pas là : elle savait comment les choses se passaient et
avait déjà subi les assauts dun homme - moi ! - tout en restant vierge. Et ce
nétait pas mon cas non plus, qui avait connu des tas de femmes, et qui en avait déjà
inauguré quelques unes. Mais cela nempêchait pas le moment dêtre exceptionnel. Pour
nous deux. Pour elle dabord, qui malgré son cran, craignait la douleur du moment
fatidique. Pour moi ensuite qui était vraiment ému par le divin cadeau quelle me
faisait, en moffrant ce qui pour une fille de ce pays constituait le trésor le plus
cher. Je me promis donc de ne pas me comporter en brute et en salaud, comme me le
commandait mes pulsions de mâle prétentieux.
Imène était restée sagement allongée sous moi, son superbe corps gigotant sous mes
caresses. Ma main droite quitta le sein quelle était toujours entrain de tripoter et
alla caresser son ventre. Elle descendit très lentement vers son bas ventre, traversé
de temps en temps par des frémissements et, imperceptiblement, vers sa culotte.
Javais décidé dy aller par étapes, avec des allers-retours entre son ventre et son
bas ventre, en ne faisant que frôler le haut de sa culotte. Je savais que cette
manière de faire, allait la mettre dans une situation dattente insoutenable. Je
connaissais les réactions de ma mie, quand je la caressais comme cela. Je la savais
qui attendait impatiemment le moment où ma main allait rencontrer, à travers le tissu
de la culotte, son pubis, puis sa chatte. Chaque fois que ma main sapprochait de
lendroit fatal, elle poussait un petit gémissement de plaisir et relevait ses hanches
pour hâter la rencontre. Et à chaque fois, elle les rabaissait, avec un râle de
déception, quand ma main repartait en sens inverse. Au bout de plusieurs allers-
retours, je la sentais prête à hurler. Je la devinais sur le point de lancer sa main
pour attr la mienne et lobliger à aller se poser entre ses cuisses ouvertes. Je
me décidais donc de brûler les étapes et de plonger ma main directement sous le tissu
de la culotte pour prendre possession de son mont de vénus, doux comme de la soie,
bombé et ferme.
Jétais étonné de ne rencontrer aucune trace de poil. Je connaissais la chatte de ma
mie depuis quelque temps déjà. Elle était épilée de partout, mais avait toujours gardé
un mignon petit duvet, bien entretenu, sur son mont de vénus. Et là, elle était
complètement épilée. Je ne pus empêcher mon cur de battre plus vite. Imène se
comportait exactement comme une nouvelle mariée quon avait préparé pour sa nuit de
noces : traditionnellement, la jeune mariée se faisait épiler complètement pour cette
occasion. Elle considérait donc ce moment comme celui de sa nuit de noces. Cétait à
moi, qui ne sera jamais son mari, quelle offrait sa vraie nuit de noces. Une nuit de
noces qui se déroulait en pleine journée ! Mais quimporte ! Imène maimait et me le
prouvait !
- Cest pour moi que tu tes complètement épilée ?
- Bien sûr que cest pour toi ! Pour qui voudrais-tu que ce soit ? Je nai pas
dautre amant ! Quattends-tu pour me caresser la chatte ? Tu veux que je te supplie ?
Tu ne vois pas combien jai envie ? Touche, tu verras combien je coule !
Et effectivement, les grandes lèvres que je sentais sous mes doigts étaient plus
quhumides. Elles coulaient. La conséquence de lorgasme quelle avait eu tantôt sous
mes caresses. Et en plus, elle était super excitée! Quel bonheur ! Il fallait
absolument que je prenne possession de cette merveilleuse chatte. Il fallait que je la
débarrasse de sa culotte. Je my pris comme un manche ! Chaque fois que javais
essayé, sous leffet de lexcitation et de limpatience, de déshabiller une femme, ou
seulement de lui enlever le dernier rempart qui mempêchait de prendre possession
delle, je finissais par tout déchirer. Et cette fois-ci néchappa pas à la règle. Je
tirais tellement fort sur lélastique de la culotte quil cassa et claqua sur la
cuisse dImène, en lui faisant pousser un petit cri de douleur.
- Aiiiiiiiiiiieeeeeeeee ! Salaud, tu mas fait mal ! Laisse-moi lenlever !
A ma grande honte, elle enleva elle-même ce qui restait de la culotte et me présenta,
avec sur les lèvres, un sourire narquois, son jardin déden. Javais déjà vue et
admirée sa chatte à plusieurs reprises, mais là cétait peut-être seulement
psychologique elle me paraissait encore plus belle ! Plus brillante ! Plus
palpitante ! Plus désirable ! Le pubis, couleur café, était brillant, bombé et ferme.
Les grandes lèvres qui ressemblaient à sy méprendre aux lèvres de sa bouche, étaient
longues, dodues et dune couleur encore plus foncée que le reste de sa peau. Et les
petites lèvres, dont les ailes dépassaient dentre les grandes lèvres, étaient fines
et palpitantes, dune exceptionnelle couleur rouge-vif. Et son petit clito, super
bien dessiné, dardait au dessus des petites lèvres. Elle bandait !
Le tout appelait les caresses et les baisers ardents. Je me demandais un instant, si
je nallais pas la faire jouir une seconde fois en lui administrant un cunnilingus
denfer, comme je lavais fait déjà à plusieurs reprises, la transportant vers les
sommets les plus élevés du plaisir. Mais je me dis, quelle et moi attendions autre
chose, aujourdhui ! Elle allait devenir femme ! Et il fallait nous atteler à la
tâche. Je (nous) ne voulais (voulions) plus attendre. Ma belle était toujours allongée
complètement nue, à côté de moi. Elle avait les jambes légèrement écartées, pour me
permettre de bien voir et admirer sa chatte. Ses genoux étaient légèrement
repliés. Elle avait déjà pris la position du « sacrifice ». Cétait comme si elle
disait « quest-ce que tu attends pour prendre possession de moi ? Tu ne vois pas que
je suis totalement offerte ? »
/
Je me décidais à me débarrasser de mes habits - javais tout ce temps là, gardé mon
tee-shirt et mon pantalon de pyjama - et une fois nu, le zob brandi comme un sabre,
je vins me positionner entre ses jambes. Elle avait déjà vu des tas de fois mon manche
en érection et en action dans les trous de Farida et mavait toujours affirmé
quelle rêvait de le voir lui défoncer ses trous, à elle aussi. Mais cette fois-ci
quelle savait que le moment était bien arrivé, elle eut comme une hésitation au
moment où il sortit de dessous le pyjama.
- Wahch ! Khaïfa yeqtelni ! Yewdja3ni bezzaf ? (Cest un monstre ! Jai peur
quil me tue! Il me fera très mal ?)
- Ma et-khafich ! Yewedj3ek chouya bark ! Ou ett-weli ett-hebih khtar men koul
hadja ! Houwa li yedik le-sma sabe3 ! Houwa li yedik lel-djenna ! (Naie pas peur
! Il te fera un peu mal ! Mais tu finiras par laimer plus que toutes choses ! Cest
lui qui tamènera au septième ciel ! Cest lui qui tamènera au paradis !)
Je vins me mettre entre ses jambes qui étaient restées écartées, les genoux repliés.
Je pris mon manche dans la main droite pour guider le gland tuméfié vers louverture
de ses grandes lèvres. Elle me regardait faire, avec un peu de crainte dans les yeux.
Je posai le bout du gland sur la partie la plus basse de ses grandes lèvres et me mis
à lui faire faire plusieurs allers-retours le long de la fente. Je mefforçais pour le
moment de ne pas appuyer pour lempêcher de pénétrer à lintérieur. Je cherchais
seulement à lui caresser la chatte avec mon manche pour lhabi à sa présence. Et à
sa force ! Et à sa douceur ! Au bout de quelques allers-retours, je sentais ma belle
qui se décrispait un peu. Visiblement elle appréciait les caresses de sa chatte par le
gland de mon manche.
- Ach-hal mlih ! Ach-hal hlou ! Enn-hebbou bezzaf ! Zid hak-li hak-dhak !
(Comme cest bon ! Comme cest doux ! Je laime beaucoup ! Continue de me caresser
comme cela !)
Malgré que nous ayons flirté énormément, Imène et moi, jamais Farida ne nous avait
permis datteindre ce stade. Elle nous disait quun accident était très vite arrivé.
Et chaque fois, quelle nous voyait prêt surtout moi à jouer au jeu du « pinceau »
elle sinterposait et moffrait sa chatte (ou son anus) en compensation. Et
aujourdhui, Imène et moi, étions entrain de goûter à la sensation bizarre dune
partie de « pinceau ». Pour moi, cétait vraiment bizarre : mon gland qui allait et
venait entre les grandes lèvres de la fille avait du mal à rester à la surface de la
chatte. Il était irrésistiblement attiré vers le fond. Je devais durement lutter
contre lenvie de prendre immédiatement possession de lendroit. De lautre côté,
Imène était dans les mêmes dispositions que moi. Elle avait fini par prendre mon
manche dans sa main droite pour lui faire faire tous les mouvements quelle voulait.
Ce qui lintéressait par-dessous tout cétait de frotter son clito avec le gland de
mon manche et de crier son plaisir. Elle avait un clito extrêmement sensible aussi
sensibles que les tétons de ses seins et elle me semblait ne pas pouvoir résister à
lenvie de pousser mon engin à lintérieur de son vagin. Si je lavais laissé faire,
elle se serait dépucelée toute seule avec mon manche.
En faisant des efforts inhumains pour ne pas céder à lappel du fond, je continuai de
caresser superficiellement la chatte de ma mie, jusquau moment, où ny tenant plus
elle se cabra soudainement et cria quelle allait jouir :
- Raïha enn-ferragh ! Raïha enn-ferragh ! Rahi djaya ! Djayaaaaaaaaaaaaaaaaaaa
! (Je vais décharger ! Je vais décharger ! ça vient ! ça vieeeeeeent !)
Sa jouissance fut beaucoup plus forte que celle de tout à lheure, quand je lui
caressais et tétais les seins. Elle déchargeait en gigotant comme une folle. Javais
un mal fou, à maintenir mon manche à la surface de sa chatte. Jy parvins avec
difficulté, mais fus récompensé par limage de bonheur que moffrait Imène
complètement relâchée et affalée sur le lit, un sourire béat sur les lèvres, le regard
perdu dans la contemplation dun monde merveilleux qui nappartenait quà elle. Elle
émergeait petit à petit de son monde de bonheur pendant que sa respiration reprenait
difficilement son rythme normal. Tout son corps était maintenant au repos et attendait
la suite avec sérénité. Elle était bien et elle me le dit avec ses mots à elle.
- Dhork tegder ett-kessarni kima hebit ! Hadh ezzeb ma yegdarch yewdja3ni !
Hlou bezzaf ! (Maintenant tu peux me déflorer comme tu veux ! Ce zob ne pourra pas me
faire mal ! Il est trop doux !)
Magnifique Imène ! Je lembrassai tendrement, en mallongeant sur elle, sans trop
peser ; uniquement pour lui faire sentir la chaleur de mon corps et la force et la
douceur de mon sexe, qui avait tellement faim delle. Il palpitait de désir, collé
contre le bas de son ventre. Elle ne pouvait pas ne pas le sentir. Elle savait quil
était impatient de prendre sa part. De vivre lui aussi des moments forts de plaisir.
Et ce quil voulait cétait de plonger à lintérieur de son étroit tunnel et de cogner
sur son hymen pour le faire exploser. Elle se doutait bien que le zob qui lui avait
caressé la chatte tout à lheure, navait rien avoir avec celui qui allait prendre
possession delle et qui la cassera (li yekessar-ha). Mais je crois que son corps et
son âme étaient maintenant tellement repus, quils attendaient la suite sans trop de
crainte.
/
Jétais toujours à genoux entre ses jambes ouvertes et légèrement relevées. Elle était
toujours offerte ! Ses yeux avaient gardé le voile quils avaient pris au moment où
elle avait eu son orgasme. Et sur ses lèvres, qui dégoulinaient encore dun peu de
salive, elle avait posé un merveilleux sourire de contentement. Je lui pris la main
pour y déposer un baiser et lui faire sentir toute la tendresse que javais pour
elle. Je lui fis sentir que javais vraiment envie delle et de la posséder, mais pas
seulement. Javais la prétention de lui donner aussi du bonheur. Elle ouvrit les yeux
et me regarda avec tellement de tendresse et de confiance, que jen fus ému. Elle me
souriait tendrement et me faisait comprendre quelle navait plus peur de linstant
fatal où je la déflorerai. Elle navait plus cette peur ancestrale des filles pour
leur nuit de noces. Elle était dans un tel état démerveillement après deux orgasmes
consécutifs que la suite ne pouvait que lui apporter autant de plaisir et de
bonheur. Tant pis, si pour cela, elle devrait avoir un peu mal ! Bien entendu, elle ne
me disait pas cela avec des mots. Elle me le disait avec ses yeux et son corps.
Je lui fis plier les jambes un peu plus pour avoir un accès plus facile à sa vulve.
Elle se laissa faire sans aucune résistance. Je pris mon membre, tendu et dur comme du
bois, et posai le bout du gland tuméfié sur ses grandes lèvres. Je poussai un peu mon
bassin pour ouvrir le chemin entre les grandes lèvres. Le gland pénétra en partie et
alla ouvrir les petites lèvres encore luisantes de tout le jus quelle avait sécrété
tantôt. Je donnai encore une légère poussée avec mes hanches pour atteindre lentrée
de son vagin et surtout pour lui frotter le clito qui palpitait dans son coin. Elle
sursauta légèrement au contact de mon gland sur son clito et poussa un petit cri de
plaisir. Elle sattendait à ce que jy aille franchement, maintenant que tout mon
manche était en position de la pénétrer, sans quelle ne puisse plus rien faire pour
me retenir ou pour éloigner encore un peu léchéance. Elle sattendait à ce que je lui
défonce immédiatement la fine membrane. Elle était un peu crispée, pensant à la
douleur quelle allait ressentir au moment fatal. La crainte quelle disait disparue,
revint sinstaller dans ses yeux.
Je ne voulais toujours rien brusquer. Au lieu de profiter de ma position pour y aller
franchement et faire disparaître le plus rapidement possible lobstacle à sa future
vie de femme, constitué par la fine membrane, je revins en arrière et me remis à lui
caresser les petites lèvres et le clito avec le gland. Je refis une deuxième tentative
de pénétration en douceur du vagin. Cette fois-ci, jallais cogner légèrement sur la
membrane. Juste pour lui faire sentir la présence du monstre menaçant. Au contact avec
lhymen, je sentis Imène se crisper. Je revins en arrière pour lui faire comprendre
que jallais continuer à la caresser ainsi longtemps. Très longtemps ! Je my pris
ainsi peut-être une dizaine de fois, le temps de la mettre en confiance et quelle se
relâche complètement. Et ce ne fut quau moment où elle se détendit totalement, que je
donnai une brusque poussée à mes hanches qui fit éclater lhymen. Elle cria très fort
et enfonça ses ongles dans mon dos.
- Aiiiieeeeeee! Wedja3tni! Bela3qel! (Aiiiieeeee ! Tu mas fait mal !
Doucement!)
Penaud, je marrêtai au fond de son vagin et restai un long moment sans bouger. Mais
mon Dieu que son vagin était doux, étroit, chaud et visqueux ! Je crois que jaurais
donné plusieurs années de ma vie, rien que pour vivre ce moment à lintérieur du vagin
dImène. Si je navais pas peur de blasphémer et de mécontenter tous les croyants du
monde, jaurais dit que le vagin dImène était le Paradis ! Celui que toutes les
religions promettent aux meilleurs dentre leurs ouailles. Un paradis doux et chaud,
dans lequel on aimerait passer toute sa vie. Je regardais mon amante, qui était encore
un peu crispée, craignant sans doute le retour du monstre sur la plaie et la douleur
quil provoquera une autre fois. Je me mis à lembrasser tout en lui parlant doucement
pour la rassurer. Je lui disais que le mauvais moment était passé et quà partir de
maintenant, je lui promis quelle ne ressentira plus que du plaisir.
Tout en lui parlant et en lembrassant, je fis faire à mon bassin des petits
mouvements de va-et-vient en mefforçant de rester au fond de son vagin. Je voulais
lhabi à la présence de mon manche dans son vagin et aux va-et-vient qui
nallaient pas tarder à commencer. De temps en temps, je regardais la base de la hampe
de mon sexe qui sortait partiellement du vagin de ma mie et qui était devenu rouge du
sang de la vierge. Jéprouvai un tel plaisir à voir couler le sang que je métonnais
moi-même. Latavisme ancestral était de retour (ou alors, navais jamais réellement
disparu) et accrut dun cran lintensité de mon excitation. La vue qui coulait
doucement de la chatte de ma mie, me fit bander encore plus fort et augmentait mon
désir. Jai honte de le dire, mais intérieurement, jétais très fier de moi ! Cest à
des moments comme cela que lon se rend compte que notre culture moderne nest en fait
quun vernis qui disparaissait très vite dans certaines conditions. Et le dépucelage
de ma belle était un de ces moments là.
Je me mis donc à faire parcourir à mon manche des distances de plus en plus grandes
dans le tunnel de ma belle. Au début, je faisais très attention à ne pas dépasser
lendroit de la blessure, sachant que le chapeau de mon gland était trop large et
quil réveillera la douleur. Je voyais maintenant quelle était rassurée. La douleur
était moins intense et les allers-retours de mon sexe en elle, avaient réveillé son
désir. Elle commençait à sentir le plaisir que lui procurait le monstre qui était en
elle et qui la possédait avec force et douceur. Elle saccrochait à ma taille et
accompagnait mes va-et-vient en tirant sur ses bras. Je commençais à augmenter
lamplitude des allers-retours, mais sans trop forcer. Je voulais habi le vagin
dImène à la force de mon engin. La connaissant, je savais quelle sera tellement
excitée, quelle exigera de moi dy aller plus franchement et plus vite. Je
surveillais son visage qui séclairait de plus en plus, au fur et à mesure que mes
coups de boutoir devenaient plus francs et plus rapides. Elle avait encore mal, mais
maintenant, le plaisir avait pris le dessus.
/
- Zid ! Zid ! Zid hakdha ! Belkhaf ! Bezzour ! Red-ni mra ! Welit mra ! Redit-
ni mra ! Kessart-ni ! En-habek ! (encore ! Encore ! Encore ! Plus vite ! Plus fort !
Fais-moi devenir femme ! Je suis devenue femme ! Tu mas rendue femme ! Tu mas
dépucelée ! Je taime !)
Ma belle était vraiment entrain de prendre son pied. De temps en temps, je lui faisais
mal je ne prenais plus aucune précaution et elle poussait un petit « aie ! » mais
elle reprenait très vite le cours du plaisir quelle prenait. Le plaisir était le plus
fort et jen profitais pour faire du vagin de ma belle le nid de mon manche. Il était
aux anges. Cette chatte avait été créée pour lui ! Rien que pour lui !
Imène était maintenant toute à son plaisir. Elle avait quitté son corps pour entrer
dans le monde merveilleux de lorgasme provoqué par une pénétration faite sans
précaution. Un orgasme dû à un bel engin qui lui limait le vagin avec force et
douceur. Parce quen même temps quil lui faisait mal, elle ressentait en lui une
telle douceur, quelle ne pouvait sempêcher de me le crier très fort.
- Zebek hlou ! Ach-hal ahlou zebek ! Ach-hal akhchine ! Ach-hal twil ! En-habbou
! En-mout a3li ! Mekhdoum a3la hatchouni ! (Ton zob est doux ! Comme il est doux !
Comme il est gros ! Comme il est long ! Je laime ! Je ladore ! Il a été moulé sur
ma chatte !)
Tout son corps vivait le plaisir quelle était entrain de prendre. Elle gigotait dans
tous les sens. Sa tête balançait de tous les côtés ; elle la relevait, pour la
relaisser tomber immédiatement après. Elle la secouait presque violemment de droite à
gauche, puis de gauche à droite. Javais limpression quelle avait perdu tout contact
avec le monde alentour. Un moment, elle lâcha même ma taille dans laquelle elle avait
planté ses ongles pour se mettre à se tirer les cheveux. Violemment, comme le ferait
une folle ! Et en même temps, elle essayait de suivre avec ses hanches les coups de
boutoir que je continuais à lui asséner. Elle voulait que mon manche aille encore plus
profondément en elle. Elle voulait jouir très fort. Plus fort que toutes les autres
fois : avec moi et avec Farida. Je ne lavais encore jamais vu perdre autant le
contrôle delle-même, que ce matin là. Imène était vraiment extraordinaire.
Jai inauguré un certain nombre de filles et de femmes dans ma vie, mais jamais encore
une fille que jétais entrain de dépuceler ne sétait comportée comme cela. Avec
autant de passion et de plaisir. Même si elles avaient vraiment joui à la suite du
dépucelage, aucune des filles et femmes que javais inaugurées navait montré autant
de plaisir. Elles sétaient toutes souvenues de la douleur de léclatement de lhymen
et très peu du plaisir quelles avaient pourtant pris avec moi. Avec Imène, ce fut un
véritable feu dartifice. Elle avait ouvert les yeux, mais ne voyait rien de ce qui
lentourait. Elle regardait en elle-même et surveillait le torrent de plaisir et de
jouissance quelle voyait dévaler sur elle. Elle lappelait pour lenvahir totalement.
Pour la noyer.
- Arouah ! Arouah ! Gharek-ni ! Rahi djaya ! Djat ! Djaaaaaaaaaaaat ! (Viens !
Viens ! Ensevelis-moi ! Elle vient ! Elle vient ! Elle est venue ! Elle est
venuuuuuuuuuuuuue !)
Jai vu beaucoup de mes amantes avoir des orgasmes hors du commun. Mais Imène les
dépassa toutes. Sa jouissance la mena jusquau bord de l et de la perte de
connaissance. Je crois même quelle avait réellement perdu connaissance pendant un
court moment. Je nentendais plus sa respiration, tellement elle était devenue courte.
Son visage était devenu très pâle, comme si tout le sang sen était échappé. Elle
accompagna son orgasme par un long cri strident, que tout le voisinage avait dû
entendre. Et elle déchargea une quantité incroyable de cyprine qui se mélangea au sang
du dépucelage. Le tout sétala sur le drap du lit sur lequel nous étions allongés.
Je sortis du vagin dImène, puis dentres ses cuisses. Je navais pas joui. Jétais
donc encore parfaitement en forme. Je ne voulais pas éjaculer en elle, par peur dune
malencontreuse grossesse. Nous navions pris aucune précaution dans ce domaine. Je me
promettais de renouveler mon stock de préservatifs pour la suite de notre relation. Je
navais pas joui, mais je nen ressentais aucune frustration. Je savais que jallais
bientôt prendre tout le plaisir du monde avec elle. Il me fallait seulement attendre
un peu quelle cicatrise et quelle soffre encore à moi, sans aucune restriction. Je
savais quavec elle, ce sera le nirvana : elle ne me refusera absolument rien de tout
ce que je lui demanderai en matière damour et dérotisme. Et bien entendu, je ne lui
refuserai rien.
Cette journée là, nous restâmes ensemble à paresser au lit et à flirter comme de
nouveaux mariés, nous attendant à voir débarquer Farida. Même si elle nous avait dit
quelle nous laisserait en paix au moins deux jours, nous ne la crûmes pas. Et
pourtant elle tint parole. Elle nous laissa entre nous, passant deux journée
paradisiaques à faire lamour elle me permit même de la sodomiser parce quelle
avait vu combien jadorais le faire avec Farida comme de vrais amoureux. Ces deux
journées elle arrivait à huit heures et repartait à dix huit heures nous nous
comportâmes comme un vrai couple qui venait de se marier. Elle était ma femme ;
jétais son mari. Elle mavait même affirmé quelle était entrain de vivre le bonheur
de sa vie. Elle allait certainement se marier un jour avec un autre que moi, puisque
quelle savait pertinemment que son époux lui sera imposé par son père mais ce sera
toujours ces moments là quelle considèrera comme son vrai mariage et sa vraie nuit de
noces.
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